Pays incarné : Viêtnam, ou république socialiste du Viêtnam. Nom du pays incarné : Nguyễn. Prénom du pays incarné : Hoầng Anh (Ne forme qu'un seul prénom.) Age : 23 ans d'apparence. Sexe : Femme. Anniversaire : 2 septembre. (Fête nationale.)

❝ Tu te balades. Une femme passe à côté de toi. Elle avait fière allure, avec sa grande taille pour une asiatique et ses longs cheveux bruns presque noirs, attachés en une fine queue de cheval. Tu te retournes pour la regarder. Ca y est ; elle a réussi a attirer ton attention. Elle, elle s'en fiche de toi, en fait. Mais toi, tu es intrigué par cette femme.

Elle marche avec des ballerines. Tu trouves ça un peu enfantin, pour une personne comme elle. Elle est déjà adulte, elle marche droit, elle a un grand cou, mais elle porte des ballerines. Des ballerines blanches avec un pull rouge ligné et un jean. Tu la penses jolie, parce qu'avec un dos et des hanches comme ça, elle ne peut que l'être. Quelqu'un vient vers elle. Elle se retourne. Elle est plutôt belle. Dans tous les cas, elle n'a pas l'air de connaître cet homme qui l'interpelle. Tu n'es pas loin, mais tu n'arrives pas à entendre grand chose de ce qu'il lui dit. Mais elle, cette femme que tu stalke depuis un moment déjà, au risque de passer pour un pervers, elle parle fort. « Non merci. » Et hop, elle balaye l'homme qui lui tend un flyer comme si elle balayait de la poussière. Elle est belle, en effet. Ce n'est pas une bombe, mais elle a son charme. Une charme froid, certes, mais c'en est tout de même un. Son visage est neutre. Quoique ... Un peu énervé ? Ça fait la sixième fois qu'on la dérange pour ça en une demie-heure. Elle marche depuis longtemps, elle a beaucoup d'endurance. Mais ça, tu ne peux pas le savoir.
Tu te souviens que hier aussi, elle parlait à quelqu'un avec ce genre de visage. Sauf que là, ils ont parlé un peu plus. Ils avaient l'air de le connaître un minimum. Tant pis si elle a quelqu'un dans sa vie. Tu aimerais la connaitre, mais au fond, tu sais très bien que c'est pas en la suivant que tu vas y arriver, et tu n'es pas assez extraverti pour aller à sa rencontre. Passons.

Cette femme paraît dure et têtue. Elle l'est, mais ça non plus, tu ne peux pas le savoir. Sa voix était forte et dure. C'était comme si elle lui avait dit de pas l'emmerder, et ça, il semble l'avoir compris. Elle s'arrête et se retournes. Tu as peur, tu crois qu'elle t'as remarqué. Mais non, elle se contente d'aller à une extrémité du trottoir pour ne pas embêter les gens qui marchent avec elle. Tu ne peux pas t'arrêter avec elle, c'est trop risqué. Alors tu laisses tomber. Mais tu as le temps de contempler encore son visage assez tendu. Elle a les yeux bruns doré, de jolis et grands yeux ornés pas de longs cils du bas de l’œil, mais ceux du haut ne semble pas être longs, de loin. C'est dommage, ça mettrait plus en avant ses jolis yeux, mais bon. Certaines personnes - dont elle - n'aiment pas le maquillage, tu n'y peux rien. Elle a une petite bouche, c'est mignon, même si on imagine autre chose face à une femme de son genre. Ses sourcils sont tendus. Ils sont longs et fins, ils sont beaux. Positionnés d'une façon qui lui donne un air assez dur. Néanmoins, sa frange cache une partie de ses sourcils. Ses mèches sont longues, mais ça lui va bien. En plus, niveau poitrine, pour une asiatique, elle n'a rien à envier les Européennes. Elle a un teint jaune pâle. Elle est belle, tu te le répètes encore une fois.

Elle semble attendre quelqu'un. Tu t'es positionné derrière une poubelle, faisant semblant d'attendre quelqu'un toi aussi. Quelqu'un arrive vers elle, c'est un homme svelte aux cheveux noirs et des lunettes. Elle semble l'apprécier. Elle sourit en sa présence. Pire, elle rigole. C'est bizarre. Tu ne pensais pas qu'une femme comme elle puisse sourire avec tant de grâce. Son sourire est timide et chaleureux. Tu n'aurai pas cru qu'elle puisse changer autant d'expression en une seule fraction de seconde, tout ça parce qu'un homme lui a lancé une blague. Tu lui accordes tout d'un coup moins d’intérêt, tu es déçu. Et puis ton regard s'arrête sur une autre femme devant toi. Tu ne verras plus jamais Anh de ta vie, mais tu t'en fiches. Ce n'est pas comme si tu étais tombé amoureux d'elle. Tu as juste contemplé son charme à elle, c'est tout. Comme toutes les femmes qui marchent dans cette rue, où tu es et Anh aussi. Et cette femme qui marche à pas hésitants et aux cheveux blonds aussi. Une fois rentré chez toi, tu auras déjà oublié cette belle blonde, et Anh aussi.

¤ Travailleuse ¤ Trompeuse ¤ Attentionnée ¤ Directe ¤ Têtue (très) ¤ Forte ¤ Estomac de moineau ¤ Patiente ¤ Moqueuse ¤ Impolie ¤ Sévère ¤ Vulgaire ¤ Possessive ¤ Profiteuse ¤ Généreuse ¤ Débrouillarde ¤ un peu Renfermée ¤ Calme ¤ Gentille ¤ Vieux-jeu ¤ Sérieuse ¤ Secrète ¤ Ne s’intéresse pas à beaucoup de choses ¤ Modeste ¤ Avare ¤ etc. ¤

❝ Dieu aurait pu te faire pure, bienveillante, aimable avec tout le monde, mais Dieu ne l’a pas fait, parce qu’il doit varier.

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Avant de parler à Vietnam, assurez-vous que vous avez un lien avec elle, que vous avez un bon sujet de discussion. Et sachez surtout qu’elle a deux personnalités.

Vietnam peut tantôt être froide et méchante, pour deux minutes après se montrer joviale et attentionnée. Elle ne l’a pas choisi, elle n’est pas schizophrène. C’est comme ça.
Pour tout vous dire, ça fait au moins la sixième fois que je refais son caractère. Vietnam est assez dure à décrire, pour moi, en tout cas. Elle est à la fois dure et passionnée. Avare et généreuse. Gentille et directe. Méchante et toujours vierge. Il n’y a qu’avec l’Asie qu’elle se sent à l’aise. Il n’y a pratiquement qu’avec eux qu’elle peut se montrer gentille.

Vietnam apparait pour les nombreuses personnes qui ne la connaissent pas ou alors juste de nom très je-m’en-foutiste. C’est un peu vrai. Elle est chiante. Elle s’intéresse à très peu de choses. Ce n’est pas sa faute, tout le monde le sait bien, mais elle, elle s’en veut de ne pas partager la joie de ses amis quand ils ont acheté des billets de concert trois mois à l’avance et qu’ils vont enfin voir de leurs propres yeux la personne qu’ils adulent depuis si longtemps. Elle s’en veut d’être si marbre devant une chanteuse qui chante avec passion pour ses fans. Il y a quand même des choses qui l’intéressent, mais pas beaucoup. Des choses insignifiantes. La cuisine, la lecture, la sieste, les paysages, la mer, les légendes. C’est à peu près tout, des loisirs futiles auxquels elle s’expose gaiement, pour une fois.
Se lever, faire la vaisselle, se balader, manger du phò, travailler dans les champs, boire du jus concentré de sucre de canne, montrer le chemin aux ignorants, travailler, peut-être sourire, peut-être crier. Ses journées se résument à ça. Certaines femmes ne seraient pas capables de toutes ces choses, en vingt quatre heures. Mais elle, si. Parce qu’elle est têtue, et parce qu’elle finit toujours ce qu’elle a commencé.

Je ne vais pas m’étaler plus longtemps. Viêtnam est méfiante, mais ce n’est pas quelqu’un dont on doit se méfier. Elle est sincère, même quand la vérité n’est pas bonne à dire. Elle ne ment jamais, ou alors elle essaye de le faire le moins possible. Elle ne cache que rarement quelque chose à quelqu’un , et si possible elle préfère retourner la question plutôt que de dire une fausse vérité.
C’est une travailleuse acharnée. Elle est têtue, très. Et c’est une qualité quand on est quelqu’un qui travaille beaucoup. Elle aime avoir raison, comme beaucoup de personnes, mais chez elle c'est très fort. Ne la contredisez pas trop, même quand elle a tort, parce que même si elle est plus petite que ces chères occidentales, elle est violente, et ses poings font mal, quand elle craque. De plus, il est facile de la mettre en colère.
Mais, vous savez, Viêtnam se comporte très différemment avec les personnes qu’elles connait bien et les autres. Il y a des gens qui essayent de sympathiser avec quelqu’un dès la première rencontre. Mais elle, c’est plutôt celle à se dire “De toutes façons, je reverrai plus cette personne, je peux bien être impolie”. Mais l'asiatique aime beaucoup la politesse, les gens posés etc., du moment que ce n'est pas elle. Vietnam ne pense absolument pas à comment vous allez réagir à ses propos. Elle est cynique, très sarcastique. Elle dit tout haut ce que l’on pense tout bas. Elle connait le prix de tout et la valeur de rien. Elle est silencieuse mais n’hésite pas à parler avec des propos vaches quand elle a la parole. À peine majeure, pourtant elle fait comme si elle en avait trente et aime se moquer ouvertement de quelqu’un qu’elle n’apprécie pas. Elle prend ceux qui ne font pas partie des gens qu’elle aime de haut, ne cherchant pas à voir leurs qualités. Dans un sens, elle est très immature, Viêtnam. Elle hait plus que tout être ridiculisée en public, et elle a beaucoup de fierté. Traitez-la comme une victime et vous le regretterez, parce que, vous savez, les mots font aussi mal que les baffes, mais Viêtnam, elle, utilise les deux. Elle est fortement stressée par son pays, surtout avec les mauvaises relations entre le Sud du Viêtnam et son nord, et ça se voit.

Mais Viêtnam a ses moments de détente, parfois. Elle est parfois gentille, serviable, rigolote, paisible. Viêtnam est une adepte de la méditation, mais même si elle le croit, ça ne l’aide pas. Ce qui l’aide, par contre, c’est d’être entourée de gens qui l’aiment, et qu’elle aime en retour. Car malgré ses airs de femme fatale, Vietnam est assez sensible et gamine dans sa tête (d’ailleurs quand elle est très fatiguée, elle bave parfois pendant son sommeil, mais chut), même si elle arrive à faire passer ça pour de la maturité, on ne sait comment. Une fois qu’elle est avec l’Asie ou quelques rares personnes d’autres continents qu’elle apprécie, Viêtnam parait bien plus douce qu’avant. Elle devient ainsi très “grande-sœur de la famille” . Elle reste malgré tout assez vieux-jeu et sarcastique, mais elle est beaucoup plus aimable qu’avant. Presque pas reconnaissable, elle n’hésite pas à aider son prochain et faire la cuisine pour grand monde. Elle est d’ailleurs assez possessive sur les bords pour les personnes qu’elle considère comme une deuxième famille.

Alfred ▬ Mỹ ▬ États-Unis d'Amérique. :

Parfois, tu te demandes comment en es-tu arrivée là avec lui. Alfred. Tu le hais, tu l’aimes. Ce qui est sûr, c’est que c’est quelqu’un d’important pour toi, mais tes sentiments deviennent confus quand tu penses à lui. De la haine, de l’amour, eh. Tu te souviens très bien, tu sais, de ces grosses larmes qui tombaient sur tes joues. Ces larmes qui sont apparues alors que tu combattais. Tu te souviens de ce sang sur tes cheveux, ces cheveux si souillés par la guerre. Les morts. Hà Nội et l’odeur insupportable qui y était quand tu y venais. Tu sais, cette odeur qui te disait que le bonheur était fini. Que tu n’étais plus un, mais que tu étais deux. Qui te rappelait combien d’hommes américains, et même quelques vietnamiens, tu avais tué. Cette odeur tellement répugnante, insupportable. Mais, tu vois, le port d’arme t’allait très bien, peut-être mieux qu’à n’importe quelle autre femme. Oui, quand tu le vois, tous ces désagréables souvenirs reviennent comme des maux horribles dans ta tête. Alfred, tu le détestes. Tu l’aimes bien, aussi, mais tu ne l’acceptes pas. Il était contre toi, et avec toi. Allié et ennemi. Alors, le déteste-tu ? Ou alors, l’apprécie-tu ? Tu ne sais pas ? Mais tu l’évites tellement. Tu as tellement peur de le voir, qu’est-ce que tu vas lui dire, la prochaine fois ? Tu resteras donc muette, le lassant faire la conversation tout seul ? Seras-tu méchante, vas-tu te moquer de lui, tout en l’insultant, lui, et son armée, ou lui parler avec cet air mesquin ? Ou simplement vas-tu discuter, faisant du mieux que tu peux, pour paraître le plus naturelle possible ? Souvent, tu choisis la deuxième proposition. Tu penses que vous devriez en discuter, car tu n’as jamais voulu de cette guerre. Tu as été incapable de raisonner le Viêtnam du Sud et celui du Nord, tu t’en veux terriblement. Tellement. Tu détestes la guerre, mais tu détestes encore plus quand les gens disent que tu y es redoutable et effrayante, ça te fait tellement mal.
Malgré tout, il a aidé une partie de toi, et il a perdu. Tu ne lui en veux pas, tu l’apprécies, dans un sens. Mais probablement jamais tu ne le lui diras, ou alors pas directement.

Yao ▬ Trung Quốc ▬ Chine :

Yao, c'est une des personnes les plus importantes pour toi, carrément. Ton drapeau, tes robes, ta langue, presque tout est inspiré de la république populaire de Chine.
Tu t'entends bien avec Yao, très bien, même. Il te fait sourire, tu le fais sourire. Tout se passe bien. Tu le trouves parfois un peu niais avec ses bonbons, mais finalement, il prend une grande place dans ta vie. Yao est celui qui t'a recueillie quand tu étais haute comme trois pommes, et il a su prendre soin de toi, même si à cette époque déjà vous étiez nombreux dans la maison chinoise.
En 111 avant Jésus Christ, il t'a apporté le fer, l'écriture, les chevaux et tellement de choses encore. Tu lui devais beaucoup, mais malgré tout, tu voulais ta liberté. Alors tu l'a eue, mais tu préfères oublier ce qu'il s'est passé. Et puis, ce n'était pas comme si tu n'étais pas heureuse quand tu n'étais qu'une petite ville dans son grand pays. Tu n'étais qu'un petit truc, mais ça te convenait. Tu aimais quand c'était lui qui te coiffait les cheveux et qui accrochait une fleur de lotus sur ton élastique, d'ailleurs, si tu attaches des cheveux comme ça, c'est bien de lui que ça vient. Tu préfères être indépendante, mais tu ne regrettes pas ta vie aux côtés de la Chine. Oh que non. Tu ne veux pas oublier cette belle époque. Quand ça te parait trop lointain, tu n'hésites jamais à lui rendre visite, pour souvent, grâce à la générosité dont le chinois fait preuve, finir par dormir chez lui (dans des chambres séparées, eeeh, pour qui vous la prenez).
Tu tiens beaucoup à lui et si un jour il était blessé ou dans une mauvaise position, jamais tu n'hésiteras à l'aider, même si ça doit te couter cher. Parce que sans lui, tu ne serais pas ce que tu es maintenant : Une adulte. Il t'a élevée, et tu lui as donné du fil à retordre, donc même si tu ne le lui dis pas, rien que ton regard semble être reconnaissant. Mais tu es un peu trop fière pour le lui dire directement.

Françis ▬ Pháp ▬ France :

Tu sais, il y a toujours quelqu’un que l’on déteste, quelqu’un qu’on évite à tous prix, quelqu’un que dès que l’on voit, on a envie de pointer un fusil dessus, mais pas forcément pour le tuer, jute pour lui faire peur, pour qu’il parte. Alors, tu sais, ces personnes sont parfois une ou deux, souvent, il y en a pas beaucoup, mais il y en a. Et Françis fait partie de ces gens-là, dans tout ton esprit. Tu ne le supportes pas, tout simplement. Ce n’est qu’un gros pervers qui se balade sûrement tout nu chez lui, ce n’est qu’un bâtard qui a perdu à la guerre, et qui l’a bien cherché. Oh,, tu sais, si toi, ma chérie, tu t’en donnais la peine, tu pourrais facilement voir en lui quelques qualités, mais il t’insupporte tellement que tu ne veux pas gaspiller ton énergie à trouver quelque chose que tu pourrais apprécier chez lui. Dès que tu le vois, tu l’insultes, dans ta tête. Mais tu ne le lui dit pas, non. Tu préfères lui parler comme si c’était le dernier des connards. Tu le regardes de haut, de très haut. Điện Biên Phủ fait partie des plus grandes guerre de ton existence, et c’est contre lui que tu t’es battue, pour ton pays. Tu t’es bien battue, la preuve, tu as gagné. Et pas facilement. Tu aurais tellement voulu que Hồ Chí Minh, le papa du Viêtnam, t’ai tout de suite ordonné de les faire dégager, mais il ne l’a pas fait. Et Hồ Chí Minh était l’une des très rares personnes à qui tu faisais complétement confiance et que tu respectais – et que tu respectes toujours – de tout ton cœur, alors tu n’as pas pu trop le désobéir, même si l’envie était là.
Enfin, tu ne veux pas tuer Françis, non plus. Mais tu préfères ne pas le voir, c’est tout.

Ivan ▬ Nga ▬ Russie :

[justify] Ivan, tu l'admires. Tu envies sa force, son sourire et sa grandeur. Tu envies son pays, mais tu n'en es pas encore jalouse. Ivan te fais peur, mais tu l'aimes bien. Ivan fait peur à tout le monde, de toute façon, ce n'est pas comme si tu allais échapper à la règle. Tu le considères comme un ami, d'ailleurs il a été un bon appui pendant la guerre d'Indochine, ton plus grand appui. Tu as été impressionnée par sa hauteur, et par la grandeur de son pays. Tu te méfiais, et tu te méfies toujours, car qui sait de quel coup bas est-il capable ? Mais tu éprouves une sorte de sympathie pour ce grand dadais et ses troupes.
Ceci dit, quitte à l'admirer, tu préfères le faire de loin.

Vous

Laissons les citations de côté et intéressons-nous plutôt à vous.

Pseudo : 404 NOT FOUND.
Comment avez-vous connu le forum (C’est vraiment la question standard, ça…) ? : Heuw. Je connaissais déjà avant, parce que je cherchais un forum de Hetalia, je crois. Et puis un jour, je me suis rendue compte qu'y avait pas de Vietnam, alors je me suis lancée. ♥
Éventuelles suggestions afin de l’améliorer : Non non. ♥ o/
N’auriez-vous pas quelque chose à rajouter… ? : Tutàfait.